(WITHLEG) WELL, IT HURTS.

- je t'ai apporté des choses que tu pourras brûler ou jeter si tu ne les veux pas ... je les dépose sur la table de la cuisine et je la regarde, puis regarde les cadeaux et la regarde de nouveau.

je suis intriguée, mais j'ai pas vraiment la force de me relever. bacon m'abandonne, pour oleg. visiblement, il lui a manqué. « t'es venu les deniers jours? »

je vois qu'elle ne prend pas la peine de regarder ce que j'ai apporté. je crois que je le mérite de toute manière. je flatte un peu bacon sur la tête. - non, je suis partie après toi, c'est la première fois que je viens depuis une semaine.

« je suis une mère indigne. » c'est pour ça, qu'il a autant mangé.

je fronce les sourcils. - pourquoi tu dis ça ?

« parce que j'étais chez mes parents, tout le long. »

- oh ... il semble bien aller, le même bacon. - il va bien, je crois que de toute manière, il a trouvé un truc pour aller dans le garde-manger alors ... je fais un petit sourire, puis je m'approche de nell pour la prendre dans mes bras et la transporter jusqu'à son lit où je la dépose. bacon vient se coucher au-dessus de sa tête. j'embrasse tendrement son front. - je crois que t'as besoin de repos.

« oui.. c'est vrai.. » j'ai pas hâte d'ouvrir le garde-manger. oleg s'approche, puis je me retrouve dans ses bras. puis, j'remarque ses cadeaux. je pleure. je me cache le visage de mes mains. puis, une fois dans le lit, je remplace mes mains par la couverture.

je comprends pas pourquoi qu'elle pleure tout d'un coup. je flatte sa tête au travers de la couverture. - pourquoi tu pleures nell ? j'ai encore fait quelque chose de mal ?

je continue juste de pleurer, comme pas possible. je me sens ridicule. « parce que j'ai de la peine! »

- j'ai fait un truc de trop, là ?

« non! » tempête d'émotions. « couche-toi juste. »

je suis pas trop certain de comprendre qu'est-ce qu'il se passe, mais je m'exécute et je me couche comme elle m'a demandé de le faire. je dépose mes mains contre mon ventre et je fixe le plafond.

je pleure, un long moment. puis, je finis par que renifler. puis, je m'endors.

elle s'endort, alors je profites pour flatter doucement sa joue, ses cheveux et puis son bras à certains moments. je bouge pas, ou à peine.

je me réveille, au bout d'un moment. je sens les cernes, en dessous de mes yeux. oleg est toujours là. « merci pour les choses. »

- c'est la moindre des choses, je crois que j'ai été un gros connard envers toi, alors ...

je souris un peu. « un petit peu. » puis je ris, légèrement. « mais moi, je t'ai giflé, et j'ai saccagé la télé. »

- j'ai mérité la gifle, mais, je crois pas que la télé méritait de finir sa vie sur le sol.

« pauvre télé, hein.. au final.. t'as eu de la chance, d'avoir eu la gifle.. » je souris.

- je dois admettre que j'aime mieux la gifle que de recevoir une télévision sur la tête.

je ris. « j'aurais pas fait ça à ton beau visage. »

- tu l'aimais pas mon beau visage à ce moment-là.

« t'as pas tord. » je ris un peu, puis appuie sur son nez.

je plisse mon nez. - mes mains ont soufferts, beaucoup. je lui montre. mes jointures sont bleues, mauves, jaunes, toutes les couleurs.

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(WITHLEG) WELL, IT HURTS.

(WITHLEG) WELL, IT HURTS.

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