Je détourne le regard quand il me dit que je suis un gamin, je réponds rien. - Je veux que les choses reviennes à la normale. Je dois avouer que son sourire fait chier.

can't do that; L'effet papillon bébé. Je me passe une main dans les cheveux, parce que je suis trop swag. Mais tu peux toujours être tombé sur un meilleur chemin.

Voilà que c'est bébé. - Un meilleur chemin ? Qu'est-ce qui va arriver maintenant Baptiste ? On sort d'ici, on rentre chacun à la maison, et on fait comme si rien ne se passait ? On recommence demain. Je retourne sur le canapé en soupirant.

- Ce qui va arriver c'est qu'en rentrant à la maison, je vais te laisser tomber sur le canapé, dire au revoir à Keilana, on va encore parler pour peut-être se prendre la tête pour les mêmes choses, tu vas peut-être t'endormir et je vais aller me coucher. Je lui fais un pouce dans les aires.

t'es optimiste. Je roule les yeux.

Je lui fais un petit sourire. - J'aime ton sarcasme Baptiste. Je croise les bras en continuant de lui sourire.

J'allais dire quelque chose; Bah moi, je je me révise, à la dernière minute. Je pense que tu aimes les framboises.

- Qu'est-ce que tu allais dire Baptiste ? Je le fixe.

Tu le sais. Tu ne veux pas l'entendre. Je souris comme si les dernières secondes n'étaient jamais arrivées. Tu venais faire quoi, ici?

Je fais comme si je n'avais pas entendu sa question. Je reste en silence pendant un moment avant de regarder vers la fenêtre. - Tu crois que ça serait mieux de se voir qu'au travail ? Je reviens sur sa phrase.

j'hoche la tête rapidement, de droite à gauche. Non, de toute façon, la moitié du travail est hors d'ici. Puis, qui vas t'aider à changer des couches si je ne le fais pas?

- T'as pas encore fait ton deuil, et je suis capable de changer les couches de mes enfants seul.

Dude, j'ai pas encore fait mon deuil d'un mec dont j'ai trois souvenirs clairs. Ça fait 20 ans. Je pourrai jamais agir... je sais pas. Normalement, envers toi; Mais de toute façon, je ne l'ai jamais fait. Je vivais avec avant. Je peux encore le faire. Je le regarde Puis tu vas donner une infection urinaire à ta fille si j'suis pas dans l'coin

- Fais comme tu veux Baptiste, fais comme tu veux. Et, qu'est-ce que je fais encore de mal avec mes enfants ?

Rien. T'en est juste pas a ton huitième. Je soupire. Bah je vais appeler un gentil taxi

Je me lève et prends mon manteau. - Bon retour, et je vais rentrer avant que Ciel se prenne une infection urinaire. J'hésite à prendre ses lettres ou à les lui laisser.

Je lui envoie la main. Bon, bah, bye. et je sors de son bureau. Parce que.

Je prends ses lettres et les travaux que je vais venir chercher. Je sors de mon bureau et pas dans la direction opposée. - Bye Baptiste. En fait, je suis incapable de lui dire réellement au revoir.

Il est derrière moi. Je l'entends. Je ne sais pas ce qui me prends, je me retourne et cours vers lui comme dans un film merdique. J'attrape son bras pour l'arrêter alors qu'il est tout près de la porte. Nems;

Il m'attrape le bras, je m'arrête, je prends un temps avant de me retourner, mais je finis par le faire. - Quoi Baptiste ? Je le regarde et j'attends avant de continuer.

Je me mords la lèvre. J'espérais avoir une idée de génies avant qu'il se retourne. L'artwork. t'as eut des nouvelles?

Je regarde le sol. - Non, et c'est Camille qui doit s'en occuper normalement, donc tu peux lui demander à lui. Je fais quelques pas encore.

Je soupire et retourne vers mon bureau. bonne nuit.

Je m'arrête encore, me retourne encore et le regarde encore. - Tu veux venir à l'appart ? Je vais encore vers lui, encore et encore.