je suis devant sa porte, avec une boîte avec toutes ses choses, j'ai la mâchoire qui me fait mal tellement que je sers les dents. je cogne violemment à sa porte et j'attends qu'elle vienne me répondre. plus jamais de nollie, plus jamais de noleg.

je lui fou la boîte entre les mains. - tiens, tes trucs, passe une bonne vie avec jazz à l'autre bout de l'australie, moi je pars à londres. je m'éloigne de la porte, je veux jamais la voir, je veux plus voir ses cheveux et puis son sourire, je veux penser à elle, je veux plus l'aimer.  qu'elle disparaisse.

je m'arrête sans me retourner. - parce que je veux plus avoir à faire à tout, tout à sydney me fait penser à toi! alors je préfère partir et plus jamais te revoir ou même te reparler.

- venir avec toi pour regretter que ça ne soit pas jazz. je ris sarcastiquement. - aller bon voyage. et puis je pars, sans réellement ressentir quelque chose d'autre que de la colère.

- PARCE QUE TU CROIS QUE JE SUIS PAS AU COURANT QUE T'ES HEUREUSE DE PARTIR AVEC LUI !? je ne retourne vers elle. - je suis déjà assez pathétique, ne fait pas semblant que t'as quelque chose à faire de mes sentiments ou de faire semblant que tu ressens un truc ! elle te l'a dit qu'elle n'était pas indifférente, mon cul nollie, mon cul.

- c'est moi ou lui nollie, tu peux pas avoir les deux. oui, c'est un ultimatum.