« ton bel espion. uniquement si j'dois porter un bonnet noir, ça me va si bien. oh, eh ben maintenant, elle ne fait plus popo dans son bain. » je ris, beaucoup.

« oh non, ça va pas avec mes jambes, les jupes, merci. hm.... elle pète autant que barry. à eux deux, ils font un orchestre complet.. »

j'attends qu'il ait fini de me secouer et je ris un peu. « non mais j'suis obligé d'ouvrir la fenêtre. j'te jure, c'est la mort. »

« c'est déjà ça, ouais.. et puis, moi, comme je rote t'sais, j'peux trop rien lui dire.. »

« et le pire c'est qu'on en rit beaucoup. » deux grands gamins, vraiment.

ouais, on a beaucoup de chance. « tu l'auras, toi aussi, ta relation parfaite. tu la mérites. » je mets ma main sur sa tête et pose un baiser de bro sur le haut de son crâne.

« c'est pas parce que je suis le plus petit que je peux pas le faire. » la discrimination des plus petits, quelle honte. mais, j'aime bien quand il le fait, koffi, quand même.

« chh, j'ai vingt ans, tu peux plus me dire que je suis petit. » il en a toujours six de plus que moi, mais quand même. je ris et je croque un autre cornichon. « tu devrais essayer, vraiment. pour la pâteuse, c'est bien. essaye. »

« saloperie. » je donne un coup dans son épaule. je suis bien, moi, petit comme ça. « hmm, moi j'aime vraiment ça. » je prends un autre cornichon et le lèche sensuellement. puis je le croque.

« que veux-tu, j'suis une suceuse. » je le regarde et lèche mes lèvres sensuellement.

je ris beaucoup. « ta sœur elle a pas un cornichon, elle a genre.. une moule. j'mange très bien les moules. »

je le regarde bizarrement. « non, elle pue pas de là.. et ta française, elle pue de là? »

je ris, je ris très fort. « tu croyais que je parlais de quoi? »