BIMBAMBOUM 2 (FLOMA)

je dépose quelques mèches de cheveux derrière mon oreille. je soupire doucement et je souris à sa question pour le bébé. je ne réponds pas à sa question, je vais seulement déposer des baisers contre sa mâchoire, son cou puis lentement, je longe son torse de mes lèvres, en le mordillant quelques fois au passage. je tire sur l'élastique de son boxeur avec mes dents puis lui enlève avant d'aller m'occuper de lui.

oooooh. je vois. je comprends pourquoi elle m'a pas répondu. ouh. en temps normal, j'lui aurais dit de pas se forcer, mais là.. elle s'y prend tellement bien. j'crois pas que j'puisse lui dire d'arrêter. non, j'veux pas. j'soupire, beaucoup. je tiens ses cheveux doucement en arrière et ferme les yeux. putain.

parfois je m'arrête pour aller embrasser le bas de son ventre et son torse avant de recommencer. je crois qu'il aime en l'entendant soupire et ça me fait quelque chose à l'intérieur, je ressens du désir et ça me pousse à lui faire la pipe du siècle. oui, je viens de penser ça. ça sonne étrange dans ma tête, le mot pipe. (j'allais écrire pipi, haha)

oh. putain de bordel de merde. c'est l'paradis? j'suis mort? j'tiens plus, je gémis un peu fort. je serre un peu ses cheveux aussi, sans lui faire mal non plus. putain c'est trop bon. j'essaye de m'concentrer pour tenir plus longtemps, j'voudrais que ça s'finisse jamais.

je le sens qui serre mes cheveux, je l'entends gémir aussi et je sens son corps qui aime ce que je lui fais. j'essaie de faire mieux, j'aime lui faire plaisir et ça me fait plaisir à moi aussi. je passe ma main contre son ventre, puis je m'arrête pour le regarder. julie m'a dit que les garçons, ils aimaient bien quand les filles faisaient ça.

putain. j'vais crever aujourd'hui, c'est sûr. et ça devient de mieux en mieux alors que j'pensais pas que c'était possible. je gémis plus fort. et puis elle s'arrête et me regarde. je me mords la lèvre. j'ai envie de l'embrasser et j'ai envie qu'elle y retourne, aussi. j'lui fais bien comprendre dans mon regard. j'lui flatte doucement les cheveux aussi. - continue, s'il te plaît.

il me demande de continuer, je ne le fais pas attendre plus longtemps. je retourne m'occuper de lui. cette fois, je n'y vais plus de manière douce, je lui donne tout ce que je peux lui donner, comme il m'a fait plutôt. j'aime l'entendre. je ne sais pas pourquoi je n'ai pas ressenti le désir de lui faire cette surprise avant. à croire que j'étais trop timide.

elle y retourne et elle y va fort et je gémis trop, vraiment trop. ses voisins vont m'entendre comme jamais. je sens que j'y arrive, c'est trop bon. j'attrape un mouchoir et relève sa tête. - loma, mon cœur.. décale-toi.. ouais, quand même. j'sais pas si elle est prête à aller jusqu'au bout.

il relève ma tête et me demande de me décaler. je pousse doucement sa main avec le mouchoir avant de continuer et quand il y arrive, je me relève et je grimace. ah non, j'aime pas, je confirme. j'ai l'impression que c'est un truc que j'aime pas, alors ça veut pas passer. - tu as aimé ? je souris et je vais l'embrasser rapidement.

je lui dis de se décaler mais elle y retourne quand même. je finis dans un grand gémissement. je flatte à nouveau ses cheveux et puis je vois la tête qu'elle fait. - ouais mais toi non.. tu peux aller cracher, j't'en voudrais pas.

- ça va ... c'est ... c'est plus là, je ... je vais juste aller me brosser les dents, car ça me gêne de t'embrasser. je me lève rapidement, puis je passe à la salle de bain pour laver mes dents et prendre une douche. ça fait du bien.

- d'accord. je souris et embrasse son front avant qu'elle s'en aille à la salle de bain. je remets mon boxer et m'assieds. j'passe mes mains dans mes cheveux et souris encore un peu comme un idiot. j'entends l'eau couler dans la salle de bain alors j'me lève et ouvre la porte. - hé, j'peux?

j'entends la porte s'ouvrir et florence me demander si il peut. je lui fais une petite place sous la douche en lui souriant. - oui, bien sûr. je continue de me laver les cheveux en tentant de vraiment faire toute ma tête. - c'était ... meilleur que tout hm ? je ris légèrement.

elle me dit oui alors j'enlève mon boxer et puis je la rejoins sous la douche. je passe mes bras autour d'elle, dans son dos et j'embrasse sa nuque. - c'était.. vraiment bon, ouais.. où t'as appris ça? j'avoue que, j'me demande en fait.

il me demande où j'ai appris. je souris, même s'il peut pas me voir. - j'ai une prof ... je ris encore une fois. je cale mon dos contre lui. je passe mes mains doucement contre ses bras, je profites de l'avoir toujours avec moi.

une prof? ouais, tant que c'est pas un prof, ça me va. je lui laisse garder son mystère. - tu lui diras qu'elle t'a très bien appris alors. j'embrasse un peu son cou et puis son épaule et je flatte son ventre tout doucement du bout des doigts.

- j'aurais pu te montrer que je faisais encore mieux l'amour grâce à elle. je ferme les yeux sous ses baisers et en le sentant me flatter le ventre. - ça m'aurait manqué ...

- tu me montreras peut-être dans un mois, qui sait. j'avoue que ça me donne vraiment envie, ouais. je continue mes petits baisers et mes caresses. - à moi aussi, vraiment. je la retourne doucement et l'embrasse tendrement.

- oui, dans un mois et avant que je devienne énorme. il me retourne pour m'embrasser tendrement. je me sers contre lui très fort. - j'ai parfois de la difficulté à croire que tu es à moi et que tu m'aimes. je ris contre ses lèvres. je vois bien les filles qui le regardent dans la rue ou ailleurs.

- tu seras magnifique même énorme. je continue de l'embrasser doucement. - et pourtant.. je t'aime.. je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime. petit monstre. entre chaque mot je l'embrasse un peu puis je ris.

- tu m'aimes ? je ris à tous ses baisers qu'il me fait. je dépose mes mains contre son torse. - j'aimerais bien qu'on passe un peu de temps à l'extérieur, que nous deux ... je crois que ça pourrait nous faire un peu de bien.

- oui je t'aime. je ris encore et puis j'embrasse finalement son front. - bien sûr oui, tu voudrais aller où?

- on pourrait se rendre à melbourne ? je crois que ça serait bien et qu'on pourrait relaxer sans penser à tout ça et à hier, juste toi et moi. et le petit bébé, il veut venir, il n'a pas trop le choix de suivre. je ris un peu pour moi-même. je commence à savonner florence.

- oui c'est une très bonne idée. on peut partir quelques jours dès demain. je la serre fort contre moi été la laisse me laver.

- et tu vas faire quoi pour le travail ? je vais laver ses cheveux et je lui fais des coiffures. je trouve ça comique.

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