(jalli) octobeurre.

« oh.. je vois. » je retire tranquillement son haut, en ne me distançant qu'au moment où il doit passer la tête. puis, je recolle mes lèvres aux siennes de nouveau. j'crois que je ne me tannerai jamais.

je prends tout mon temps pour l'embrasser. parfois, je quitte ses lèvres pour embrasser ses épaules, son nez, son visage. je l'aime, beaucoup. j'entoure son cou de mes mains doucement et retrouve ses lèvres.

je me retiens, parce que je la complimenterais à l'infini. vague d'amour. je la soulève du comptoir pour la tenir contre moi, puis me dirige vers sa chambre. c'est un peu compliqué, dans les petites marches, alors je ris, mais j'y arrive. je la dépose contre le lit, pose un genoux à côté d'elle puis retrouve ses lèvres. on aura plus de salive, ce soir.

je ris très fort quand il essaie de monter les marches, avec moi au tour de lui. je me soulève un peu plus pour l'aider dans ses déplacements. je réponds à ses baisers qui s'éternisent, mes doigts glissent contre ses côtes puis à son jean que je lui enlève.

elle retire mon jean, puis j'la soulève un peu pour retirer son bas également. je l'embrasse ailleurs, dans son cou, sur son épaule, puis je me couche contre elle en me retenant un peu contre le matelas, pour pas qu'elle s'étouffe sous mon poids, haha.

j'aime le sentir contre moi, je me sens protégée, je me sens aimée. je passe mes doigts entre ses cheveux, je les laisse glisser contre son dos tout doucement. je trouve une petite cicatrice sur le bout des doigts, un petit grain de beauté un peu plus présent. j'ai très envie de lui. je lui donne un petit coup de nez avec le mien avant de très lentement enlever son sous-vêtement.

philli découvre ma deuxième cicatrice de la fameuse journée 'je fais du snowboard torse nu'. je souris, puis me retrouve nu. je passe mes doigts sur ses lèvres, puis sur sa joue. je retire tranquillement son soutif, puis le laisse tomber au sol. j'explore son corps de mes mains.

je me sens si bien. alors que ses mains me découvrent, j'essaie de me retrouver sur lui et lorsque j'y arrive, je découvre à mon tour son corps sous de petits baisers. sa peau est douce, chaude et agréable à embrasser, à toucher. j'enlève ma culotte par moi-même, je me sens audacieuse, haha.

je me retrouve sur le dos, philli parcours mon corps puis je frissonne. elle se retrouve nue également, j'ai très envie d'elle mais je fais durer le moment encore, en l'embrassant de nouveau, mes mains dans ses cheveux.

rien de s'arrête, ses baisers, ses mains dans mes cheveux. son contact me fait sourire. je dessine tout doucement sa mâchoire du bout du doigt. et lui, comme il a fait, j'essaie de déceler une approbation dans ses yeux. pas un seul mot, nous sommes ensemble. je soupire doucement, me collant contre lui. cinq secondes, j'entends quelqu'un cogner à la porte puis la voix de mon père s'élever. je cesse notre union. - c'est mon père ... il veut nous voir ...

je soupire également au moment où nous ne formons qu'un. je commence à bouger lentement, puis un bruit nous déconcentre. son père. son père?! son pèèèère? oh non...... non. juste, non. j'suis un peu paniqué, là, mais mon truc d'homme, lui, a encore très envie. « réponds pas, je peux pas, je.. » merde, merdeeeeeee.

j'essaie de réfléchir à ce que nous pouvons faire pour éviter cette situation très gênante. - james, peux-tu aller sous la douche ? la réponse ne vient pas, car mon portable sonne, je lui fais signe de ne rien dire, je réponds au téléphone. mon père me demande si je peux ouvrir, je lui dis que je suis sous la douche et que james doit se reposer. il insiste. je lui demande s'il ne peut pas passer un peu plus tard. non, la réponse est non, je soupire puis lui dit que je dois sortir de la douche et que j'arrive. - as-tu envie d'aller prendre une douche rapidement ?

je n'ai pas le temps de répondre, que son téléphone sonne. je comprends rien de ce qu'elle dit à son père. as usual. elle me demande pour la douche, puis j'hoche positivement de la tête, car je n'ai pas le choix. « ouais.. je vais tenter de.. t'sais.. » lol.

je pense que je dois aller sous la douche également pour mouiller mes cheveux, pour que mon père me croit. je ne lui mens jamais, mais j'ai l'impression qu'aujourd'hui, ce mensonge est nécessaire. - je peux ... t'aider ... je vais sous la douche puis l'eau coule. je trempe mes cheveux rapidement.

on se retrouve rapidement sous la douche. « non.. tu dois aller ouvrir.. ça peut être long, un peu.. » egdfvcfdv.

je ne l'écoute pas, ou très peu. délicatement, je l'aide tout en déposant des baisers dans son cou. ce n'est pas une très grande contribution, je suis peinée que notre moment à tous les deux soit gâche par mon père trop insistant.

elle contribue, je la laisse faire, je retiens mes gémissements parce que j'ai l'impression qu'on est espionné. « vas-y.. c'est ok.. je vais.. terminer.. »

je suis un peu triste de ce moment sous la douche. je m'éloigne un peu de lui. - d'accord, je vais être au salon. je sors de la douche pour me sécher et enfiler les vêtements que je portais un leu plutôt. je lui ouvre, il me demande pourquoi l'eau de la douche coule, je lui explique que james voulait être bien. on s'installe au salon, puis on discute, l'attendant.

elle quitte, puis moi je fais du mieux que je peux mais ça fonctionne pas vraiment, et j'trouve ça pitoyable. j'me sens juste incroyablement con, actuellement. voir juste, vulnérable. j'y parviens, au bout d'un long moment. j'sors rapidement de la douche, j'enfile des vêtements propres qui paraissent bien, puis je tente de légèrement coiffer mes cheveux humides. j'suis vraiment, terriblement nerveux. je respire un bon coup, puis descends les petites marches. je les entends discuter, j'ai vraiment pas envie d'aller au salon, actuellement. c'est juste la mort. torture. j'fige quelques minutes, puis je me pointe au salon. bonjour, père de philli. c'est moi, le type qui sait juste un mot en italien. malaise. énorme malaise. je jette un regard nerveux à philli, puis je vais vers son père. poignée de main d'hommes. « bonjour monsieur ercuelo, je suis désolé du moment d'attente. » j'imagine que philli va traduire.

quand james arrive finalement dans le salon, mon père se lève pour lui serrer la main. je trouve que c'est un bon signe venant de part. il regarde james de la tête jusqu'aux pieds, il l'examine. je traduis pour james à mon père. - mon père te fait ses salutations et dit que c'est rassurant de mettre un visage sur tes sms un peu arrogant.

oh. mince. je regrette un peu ces sms. je regrettais pas, en fait, mais là, je regrette très fort. j'suis très timide. « je suis désolé, je me suis emporté. c'est que je tiens beaucoup à votre fille. »

je fais un petit sourire à la réponse de james puis je traduis à mon père de nouveau ce qu'il vient de dire. il reste un petit moment dans le silence et me regarde. - mon père te demande si ... il y a quelque chose qui peut te faire décrocher de moi.

son silence me stresse. je ris un peu, nerveusement. « .. non. je suis désolé. »

il soupire en écoutant la réponse de james. j'explique à mon père que même s'il nous empêchait de nous voir, de communiquer, nous allions trouver le moyen de nous voir et de nous parler. mon père pose cette drôle de question. - james, il ne faut pas que tu prennes cette question à la lettre, tu as le droit de répondre non. je prends une pause et je traduis cette question. - as-tu l'intention de marier ma fille ?

philli ne me rassure pas, quand elle me fait un genre d'avertissement. puis, la question tombe. je reste figé quelques petites secondes. c'est une blague? ou un test? « on ne se fréquente pas depuis très longtemps monsieur.. » je vais manquer d'air. « .. mais je suis sérieux dans mes intentions, je ne suis pas du genre à sortir avec n'importe qui, n'importe quand, et n'importe comment.. je ne sors pas avec quelqu'un, sans l'aimer sincèrement.. alors.. j'imagine que.. si tout se déroule bien.. oui.. je vais avoir ce genre d'intention. » rouge.

» (JALLI) again.
» stay with me (jalli)
» (JALLI) WALLS
» goal (jalli)
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(jalli) octobeurre.

(jalli) octobeurre.

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