LOL (juffi)

- ça me fait plaisir, si je peux lui donner une chance. elle fait comme si c'était rien. je ris. - hm, ouais, tu me provoques. je me penche vers elle, puis m'amuse à la provoquer en déposant des petits baisers dans son cou à mon tour.

« t'es vraiment un gentil. » je fais mon air d'innocente mais il voit que je n'le suis pas. puis il embrasse mon cou à son tour et je ferme mes yeux. « je n'vois pas.. (frisson) de quoi tu parles. » je ris un peu.

je dois calmer mes pulsions. - hm, vraiment pas, t'es certaine ? je suis le long de sa mâchoire, j'embrasse sa joue puis son menton. laissant mes doigts glisser le long de son ventre. - je suis certain d'être un de tes points faibles.

« vraiment pas, non. » il essaye de me faire craquer, et moi, je veux juste lui prouver que je sais résister quand j'en ai envie -et si je craque, c'est juste que je voulais craquer. voilà tout. mais là, j'veux pas craquer, pas tout de suite. je serre les dents et me concentre. « ah tu crois? essaye mieux alors. »

- j'aimerais tu sais, mais on est dans un lieu public et c'est pas bien. je suis légèrement limité dans mes moyens pour lui faire perdre la tête.

« alors tant pis. » ouuuuuu sinon t'as qu'à me proposer d'aller ailleurs koffi. hellooooo.

- hm, t'aimerais passer à mon appart ? maintenant que tu sais que je suis pas un agresseur sexuel recherché mondialement et tuer de bébé chat. j'embrasse son épaule délicatement, ma main contre sa taille.

je ris un peu. « ça dépend. tu m'feras à manger, ensuite? » c'est que, je commence à avoir faim, un peu.

[i]- je peux même te faire un repas de qualité d'un restaurant cinq étoiles si tu veux. et je t'offre même le dessert, si c'est pas merveilleux ! je ris fort puis me relève légèrement./i]

« tu cuisines si bien que ça? t'es bon à marier, alors. » je ris, puis je me rapproche de son oreille. « si le dessert c'est toi, je suis impatiente. » je chuchote.

- ouais, c'est ce que ma mère dit souvent et tu vois, je suis pas très rassuré. elle me chuchote ce truc ... cochon ? à l'oreille. je commence à rire légèrement. - tu sais que ça sonne comme une réplique de film porno ? je me lève complètement, puis je lui tends les mains pour l'aider.

« tu devras bien à un moment pourtant, t'as presque trente ans. » ouh, le pauvre. il est presque vieux. je lui dis ce truc à l'oreille et il rit, et je ris beaucoup, aussi. « touchée, c'est une réplique de mon film porno préféré. » ouuuu pas. j'attrape ses mains et me lève. je prends mon sac et ma planche.

- ça t'amuse de tourner le couteau dans la plaie ? et il me reste quatre ans, tu peux me laisser une chance ? arf, le mariage. je ne veux pas y penser, déjà qu'être seulement en couple me donne pas trop envie, encore moins me marier. - hm, t'écoutes réellement ça ? je vais rester surpris si sa réponse est oui. je prends mon sac moi aussi et ma planche puis on marche jusqu'à mon auto. - j'ai de la place pour ta planche si tu veux.

« ouh, quatre petites années.. profites bien. et oui, ça m'amuse vraiment beaucoup. » je ris. je le plains un peu, quand même. « ça m'arrive des fois, oui. ça t'étonne? » je pense que ça l'étonne, oui. les garçons n'ont pas l'habitude qu'une fille regarde du porno, et surtout, l'assume pleinement. j'suis juste pas une fille comme les autres. « je veux bien, oui. je la mets où? »

je reste supris, je crois que ça se voit dans mon visage. - ouais, vraiment. habituellement les femmes aiment pas, elles trouvent que c'est sale comme truc. et pourtant, une bonne partie de ces femmes font la même chose que dans les films dans le savoir. - attends, je vais la placer. je prends doucement sa planche puis l'attache sur le support, puis j'attache la mienne. - t'es prête ? j'enfile mon t-shirt.

il est étonné, je le savais! « ça n'a rien de sale, c'est juste.. c'est genre, j'sais pas. moi j'aime bien. » j'hausse les épaules. j'aime bien puis c'est tout. il attache ma planche et je le remercie. « hm oui, on peut y aller. » je remets mon short et mon débardeur rapidement puis je m'installe dans son auto. je pose mes pieds sur le tableau de bord et j'allume la radio.

je m'allume une cigarette alors qu'elle s'habille puis je monte dans la voiture. - si tu veux, j'ai la radio satellite, je crois qu'on peut même prendre les postes de la france ! on sort du stationnement et on roule jusqu'à mon appart. - tu sais, on peut se voir aussi que pour parler ou surfer, pas seulement pour coucher. elle voulait un pote, j'aimerais bien l'être.

« tu n'vas rien comprendre si je mets une radio française. » je ris un peu. les radios australiennes, ça me convient. je lui prend sa cigarette et je le regarde. « oui, j'voudrais bien. vraiment. » oui, vraiment. je souris.

je la regarde quelques secondes puis me concentre de nouveau sur la route. - c'est rare que je croise une fille qui sort des standards et pis voilà, passer du temps avec toi c'est agréable. nettement plus agréable que le reste. je lui donne mon paquet. - faut pas se gêner si t'en veux une. je ris, en me rallumant une nouvelle cigarette.

« oh. merci. j'aime assez passer du temps avec toi aussi, je dois avouer. » je souris. « j'ai la tienne maintenant, ça va. » je ris. non, j'me suis pas gênée pour me servir. j'suis pas gênée de quoi que ce soit, moi.

on arrive à mon appartement, je vais me stationner dans mon garage pour la simple et bonne raison que je suis trop paresseux pour enlever nos planches. - une journée on devra partir tôt et je vais te montrer les meilleurs endroits où surfer, même des endroits secrets. je ris, puis on sort pour entrer chez moi. - je te présente la maison d'un vieux célibataire.

« c'est vrai? je fermerai les yeux sur le trajet pour aller aux endroits secrets si tu veux. » je ris. mais ça me plairait vraiment, vraiment beaucoup. j'éteins ma cigarette avant de rentrer dans son appartement et je reste émerveillée, un peu. je laisse tomber mon sac par terre et je fais le tour lentement, je regarde tout. « c'est.. wow. ton appart est superbe. »

- comme tu peux le remarquer, c'est relativement propre. je ris, commençant à sortir des trucs pour lui faire à manger. - t'as envie d'un truc en particulier ? je l'observe un moment, j'aime bien sa réaction.

« vraiment propre pour un appartement de célibataire, même le mien est moins bien rangé en ce moment. » je ris, puis je me remets dans ma contemplation et je l'écoute qu'à moitié. « non, ce que tu veux. » je suis trop absorbée par, genre, tout. puis finalement je reste plantée devant toutes ses planches, je suis presque jalouse.

ce que je veux. je sors le mélange pour les crêpes, le nutella et une banane. - t'es allergique à un truc ? comme le chocolat ? les trucs trop bon ? je ris, allumant le four. il est tard pour manger des crêpes, mais c'est le truc le plus merveilleux qui existe sur la planète.

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LOL (juffi)

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