BIMBAMBOUM 2 (FLOMA)

elle enlève son haut et j'suis le plus heureux des hommes. je continue de caresser son sein, du coup, sans son haut au milieu, et je descends poser des baisers sur son autre sein. je la serre encore contre moi avant de glisser mes doigts sous son pantalon, un peu, à ses fesses.

l'espace est si minime entre nous deux que je ne peux même pas y glisser mes mains sur son torse. je soupire sous ses baisers et je prononce son prénom tout bas. je veux ses lèvres. d'une main, je vais défaire sa fermeture et je vais onduler doucement contre lui. - je t'aime.

hm. elle soupire mon prénom et j'deviens un peu fou. et serré. ahah. je remonte poser des baisers à son cou et j'glisse encore plus ma main dans son pantalon, je serre ses fesses un peu quand elle défait ma braguette. - je t'aime aussi. je la mordille doucement et je défais son pantalon d'une main.

je l'aide à enlever mon bas, je le lance plus loin et me colle de nouveau, plus près. un peu plus et je deviens lui. puis, je me laisse tomber sur le dos, pour me coucher et je l'attends. j'attends qu'il se colle contre moi, j'attends de l'avoir à moi. je lui souris et tapote ses jambes avec mes pieds.

ekrkgks. elle m'offre carrément son corps là. j'vais devenir fou. je retire rapidement mon jean et mon boxer et je pose un baiser sur sa cuisse jusqu'à remonter jusqu'à ses lèvres en traçant une ligne de baiser et en la mordillant un peu parfois. je colle mon bassin au sien genre, fort.

il monte, et monte, et monte. c'est lui le petit monstre. je ris un peu, car je ressens trop d'amour. et je me cambre sentant son bassin contre le mien. j'enlève ma culotte et recolle mon bassin. j'ondule en l'embrassant tendrement. je suis à toi florence, tu peux faire ce que tu veux de moi.

hm elle enlève sa culotte et ondule et j'deviens fou. ça se voit? ouais ouais surtout en bas. je souris contre ses lèvres et puis je recule un peu mon bassin pour glisser ma main en bas et la caresser doucement. ouais j'suis trop fort je sais. je retourne embrasser son cou.

sa main. je soupire et gémis un peu. - ... agace ... je vais le caresser à mon tour. ce n'est pas de sa main dont j'ai envie, c'est de lui. j'embrasse doucement sa joue et je descends jusqu'à son cou. je brûle de plus en plus d'impatience.

elle gémit et hm je m'y donne encore plus. et puis elle met sa main elle aussi et j'perds la tête, ouais. j'retire ma main, attrape la sienne et je rentre directement sans attendre. je gémis, je soupire. j'bouge doucement et je retourne l'embrasser avec amour.

je reste surprise lorsque je sens qu'il est à moi. surprise loma. je l'emprisonne doucement entre mes jambes en gémissant, répondant à son baiser, laissant échapper des longs soupires. - ... voilà florence ... c'était tout. je ris un peu. c'était pas drôle, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. peut-être pour le faire rire.

hm c'est bon. et.. et quoi? j'arrête de bouger. - comment ça.. c'était tout? t'as.. pas déjà fini?.. j'crois que non, je l'aurais senti sinon mais on sait jamais.

il s'arrête de bouger. je lui souris. - non, je n'ai pas terminé. je voulais seulement te faire une blague et te dire que c'était à ça que t'avais droit pour la semaine. je ris un peu. - oublie, c'était pas très drôle. je cache mon visage avec mes mains. je peux être stupide.

ooooh. je ris un peu et je pose un baiser sur ses mains pour qu'elle arrete de cacher son visage. - t'es une vilaine fille, hm. et je reprends mes mouvements, un peu moins doucement.

je ris. j'ai cette impression d'être dans un film érotique lorsqu'il me dit ça. florence reprend et c'est moins en douceur qu'il y a quelques minutes, quelques secondes. je gémis doucement. je pense au bébé en même temps, je pense à ce que le médecin m'a dit au téléphone. je crois qu'on est au maximum. florence. je nous fais tourner et tout en restant coucher contre lui, je bouge à mon tour. j'embrasse son visage, manquant de souffle.

elle gémit. ektbybel. et puis elle nous tourne et je mets mes mains sur ses fesses que je tiens fermement, pour l'accompagner dans ses mouvements. j'embrasse son cou. j'me retiens fort, tellement fort de pas passer à la vitesse supérieure. j'vais mourir, ah.

je sers le drap entre mes doigts. c'est trop pour mon coeur, mon corps. je m'arrête. je sers les dents et respire fort. - ... j'ai une ... crampe ... au mollet, ça me fait si mal. je dépose mon front contre son épaule le temps que ça passe.

elle s'arrête. ah, on prend une pause? elle dit qu'elle a une crampe et moi comme un con je ris. ouais j'trouve ça hilarant. - t'as une crampe où?

- c'est pas drôle ! je le mords comme ça me fait mal. puis je ris, en serrant les dents. - le mollet. le mal passe et je souffle un peu. ça va beaucoup mieux maintenant. je ne sais pas si il mérite qu'on continue pour avoir rit de moi. je lui souris.

elle me mord fort. pour se venger j'suppose. - mais aaah! j'vais avoir une marque maintenant. ses petites dents sur ma peau. j'attrape sa taille et nous retourne et sans l'embrasser du tout, je continue de lui faire l'amour doucement. - ça va ton mollet comme ça.

il recommence à me faire doucement l'amour. - ... hm ... je remarque que ce n'est plus pareil. je vais essayer quelque chose, je ne sais pas pourquoi, je remarque à toutes les fois qu'il aime bien quand je fais ça. je laisse glisser ma main le long de son torse et je vais flatter doucement le bas de son ventre du bout des doigts. je lui mordille la lèvre.

hm. j'soupire pas mal. genre un peu fort. j'aime trop quand elle fait ça. ça m'excite encore plus. j'me rends un peu intense et je l'embrasse en même temps.

il vient de trouver le bon rythme, je commence à gémir, de plus en plus fort. je me sers contre lui en mordillant son épaule. je laisse mes mains chercher un appuie, ses fesses, son dos, les draps. je respire fort, je me sens si bien.

putain. c'est vraiment trop bon. elle a ses mains qui vont partout, j'embrasse sa peau. - loma.. tu t'sentirais de.. de passer au-dessus?.. genre à califourchon. putain c'que j'aimerais ça, là.

au-dessus, hm ? la dernière fois, j'avais été très nulle, mais j'ai eu des cours que j'ai pratiqué avec l'oreiller sous-moi. je nous tourne de nouveau, j'arrête les mouvements que je puisse placer mes longs cheveux d'un seul côté. je dépose mes mains contre son torse et sans lâcher ses yeux, je bouge lentement. je sens que je l'ai ce coup-ci.

aaaah merde. merde merde merde. je mets mes mains sur ses hanches, je la tiens. j'vais vraiment crever cette fois, c'est clair. en plus elle me regarde droit dans les yeux. c'est ma fin. puis merde, je gémis vraiment, un peu fort même. aaaah. elle s'est vraiment améliorée.

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